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12/10/2009

à la demande d'une amie........

Cette amie Françoise Rocafort m'envoie cette charmante déclinaison sur nos auxiliaires et me prie de le publier sur mon blog.

Pourquoi ne pas lui faire plaisir...  Peut être connaissiez vous ce spirituel  poème.... c'est une charmante découverte pour moi. Alors...... pourquoi ne pas la partager ?

AVOIR et  ÊTRE
Loin des vieux livres de grammaire,
écoutez comment un beau soir
ma mère m'enseigna les mystères
du verbe être et du verbe avoir.

Parmi mes meilleurs auxiliaires,
il est deux verbes originaux..
Avoir et Être étaient deux frères
que j'ai connus dès le berceau.

Bien qu'opposés de caractère,
on pouvait les croire jumeaux,
tant leur histoire est singulière.
Mais ces deux frères étaient rivaux.

Ce qu'Avoir aurait voulu être
Être voulait toujours l'avoir.
À ne vouloir ni dieu ni maître,
le verbe Être s'est fait avoir.

Son frère Avoir était en banque

et faisait un grand numéro,
alors qu'Être, toujours en manque
souffrait beaucoup dans son ego.

Pendant qu'Être apprenait à lire
et faisait ses humanités,
de son côté sans rien lui dire
Avoir apprenait à compter.

Et il amassait des fortunes
en avoirs, en liquidités,
pendant qu'Être, un peu dans la lune
s'était laissé déposséder.

Avoir était ostentatoire
lorsqu'il se montrait généreux,
Être en revanche, et c'est notoire,
est bien souvent présomptueux.

Avoir voyage en classe "Affaires" .
Il met tous ses titres à l'abri..
Alors qu'Être est plus débonnaire,
il ne gardera rien pour lui.

Sa richesse est tout intérieure,
ce sont les choses de l'esprit.
Le verbe Être est tout en pudeur
et sa noblesse est à ce prix.

 

Un jour à force de chimères
pour parvenir à un accord,
entre verbes ça peut se faire,
ils conjuguèrent leurs efforts.

Et pour ne pas perdre la face
au milieu des mots rassemblés,

ils se sont répartis les tâches
pour enfin se réconcilier.

Le verbe Avoir a besoin d'Être
parce qu'être, c'est exister.
Le verbe Être a besoin d'avoirs
pour enrichir ses bons côtés.

Et de palabres interminables
en arguties alambiquées,
nos deux frères inséparables
ont pu être et avoir été.

 

 

 

 

11:47 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : conjuguer

11/10/2009

A mon tour maintenant...

Après Roman, Frédéric... à mon tour d'avouer ce terrible penchant que j'ai eu dans ma jeunesse. J'ai été très proche d'une petite fille, toute petite... un bébé... je ne peux plus garder secret tout ce que j'ai fait avec elle. Je l'ai embrassée partout, partout oui même là où c'est défendu... j'aimais particulièrement ses petites fesses roses et rondes... sa peau douce... je lui parlais avec amour. Je lui disais que je profitais d'elle à 300% parce que je savais qu'un jour elle ne me laisserait plus la peloter sous toutes les coutures... Ce jour est arrivé, elle a grandi et je n'ai plus osé avoir ces gestes que la pudeur interdit, ces gestes que la loi punit sévèrement. Heureusement, elle ne savait pas parler, dont ne pouvait rien raconter.......

Le jour où j'ai du arrêter ces tendres caresses, qui semblaient lui plaire autant qu'à moi... si, si je vous jure... elle aimait particulièrement quand je lui soufflais sur le ventre, elle riait aux éclats... comment résister, comment refuser ces moments uniques...

Alors, quand ce jour est arrivé.... j'ai eu la chance de pouvoir remettre ça avec une autre petite fille, un bébé également... Même topo, mêmes caresses, même amour partagé. Elle ressemblait à l'autre comme deux gouttes d'eau... c'est incroyable. Cette peau douce, comme j'ai aimé la caresser, la frotter contre ma poitrine.... Je l'ai embrassée mille fois ! Chaque séance de caresses et de câlins je les ai gravées en moi, jamais je n'ai connu d'aussi grand moments de joie, de  bonheur... Tant pis si je me répète... Je me souviens quand je lui embrassais son petit derrière doux, qui sentait bon je lui disais :"j'en profite  tant que c'est possible..."

Alors est-ce un crime qui mérite la prison ?  Quand je revis ces moments, je pleure d'amour et de tendresse.

Mes filles ont, et sont, les deux plus grands amours de ma vie. Oui, je les ai embrassées, aimées d'une énorme tendresse charnelle.

Mes enfants, ma chair, mon sang... ma vie ! En les poupoutant ainsi je me disais "cet enfant ne t'appartient pas. Tu n'es pas propriétaire de sa vie. Un jour d'autres mains, d'autres bras l'accueilleront... un jour elles deviendront     femme...                           Tu es l'arbre, elles sont les branches... elles ont besoin de ta sève pour se nourrir, s'ouvrir à la vie, construire leur avenir....

Une branche est tombée... on appelle ça une branche morte....  Non elle n'est pas morte pour moi, elle vit en moi toujours aussi belle, fraîche, tendre...  L'autre est restée sur l'arbre, mais n'a plus besoin de ma sève.... un peu parfois, les jours de tempête !

Plus tard...  nous nous retrouverons toutes les trois, un fil que rien ne peut rompre, un fil précieux, invisibe... est tissé à jamais entre nous. Rien ni personne ne le coupera.... jamais.  L'amour éternel... c'est tout simplement ça.

21:35 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : amour, pédophilie

10/10/2009

aujourd'hui on change de personnage !

Restons dans l'actualité... Hier Polanski, aujourd'hui Frédéric Mitterand. Je me souviens de sa silhouette lorsqu'il venait à l'Entrepôt, son Cinéma. Il y avait là un très bon restaurant (cuisine lyonnaise) tenu pas Lenny et Zabeth... Fredo venait souvent y dîner en solitaire.

Bon ce n'est pas de souvenirs lointains dont je veux parler ce soir. Je ne comprends pas du tout pourquoi la vie passée de Frédo est mise sur le tapis ces jours ci. Le fameux livre confidence de Mitterand Frédo a été publié bien avant sa nomination au gouvernement. Il est alors permis d'imaginer que Monsieur Sarkozy   avait connaissance des aventures passées de cet homme. Cela ne l'a pas retenu pour le nommer ministre de la culture.

Ceux qui l'attaquent aujourd'hui connaissaient également ce livre. Ne me faites pas croire qu'ils l'ont découvert la semaine dernière... Alors pourquoi  faire tout ce battage autour du passé de Frédo. Il ne s'en est jamais caché... et aujourd'hui cela ressemble à une attaque personnelle totalement politique.

Marine, pourquoi ne pas avoir  dit plus tôt à quel point vous étiez scandalisée... et les socialistes qui mêlent leurs voix à la vôtre... mais c'est quoi tout ce merdier.  Tout ce que vous avez réussi à faire, c'est donner à Frédo une arme de défense qu'il n'avait pas. Quand elle reçoit  des coups bas, la victime sort généralement victorieuse du combat.

Cela dit, je ne me prononce pas sur le cas Mitterand F. parce que, entre nous, cela m'est complètement égal. Si la justice juge qu'il a commis des actes de pédophilie,  à la limite que son livre pour être une incitation...... à  une certaine déviation sexuelle... que c'est une insulte aux bonnes moeurs (arf arf... lesquelles ???) on aurait du interdire le bouquin, mettre Mitterand en taule ou lui placer un bracelet à la cheville ou je ne sais où...

Toute cette histoire pue la mauvaise foi, le complot... en un mot.... la merde !

Salut.

19:51 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : mitterand, cécité

09/10/2009

Roman Polanski

Monsieur Finkielkraut, sur F Inter ce matin, avoir l'outrecuidance d' accuser les internautes d'avoir monté cette affaire en épingle, alors là, tout philosophe que vous êtes, le vermisseau que je suis s'insurge.

Pardon Roman, c'est vrai, j'aurais du consacrer une note pour te défendre. Ce prétentieux monsieur m'en a fait prendre conscience ce matin. En l'écoutant, mes doigts n'ont fait qu'un tour, il était indispensable qu'ils te disent tout ce que j'ai sur le coeur. Rien à voir avec ce que peut imaginer ce triste bonhomme A. Fink.......

Roman, si tout à l'heure tu viens sonner à ma porte pour me demander un verre d'eau, je l'ouvre en grand et je t'avoue que je ferai tout pour te retenir. Après tout, n'avons nous pas le même âge ?  Je vais te l'avouer en secret, je t'ai toujours aimé... depuis que j'ai eu le bonheur de voir ton visage, tes yeux pétillants de malice et d'intelligence... Je ne veux pas parler de ton oeuvre... elle montre qui tu es : un homme sensible, brillant, intelligent... qui connaît le sens du    mot souffrance. Inutile de rappeler ta biographie. Ceux qui ne la connaissent pas feraient bien d'aller faire un petit tour sur Google ou autre site, pour découvrir d'où tu viens, quelles épreuves tu as traversées...  Après cela, ils ne pourront plus te condamner sans savoir !

Te condamner à quoi, et pourquoi ? Elle avait 13 ans... je t'avoue qu'à son âge, si j'avais déjà ressemblé à une femme, comme elle qui acceptait de poser nue pour un magazine, c'est moi qui t'aurait drogué et fait boire du champagne pour que tout puisse arriver... même ce que j'appelle "le meilleur"  et que trop de connards nomment "le pire"...

De quel droit t'accusent ils ? ils sont qui ? et eux, si on fouillait un peu dans leur passé... que pourrait on bien découvrir et révéler ?

N'avons nous pas tous quelque chose à nous reprocher... un truc dont nous ne sommes pas fiers... ces petits secrets minables qu'on cache soigneusement !

Marine ne doit pas faire exception à la règle.... Je ne cite personne en particulier parce que je crains le pire de ces personnes.J'aurais pu aussi bien écrire Alain, Bernard... Françoise.....

Il doit bien y avoir une ptition en ta faveur qui traîne sur la toile... Je ne crois pas trop à l'efficacité de ce genre de chose... mais je vais chercher  et signer, je te le promets.  Au moins tu sauras que des milliers de gens pensent à toi et te soutiennent.

Décidément les Américains nous avaient montré leur stupidité en inventant le chewing gum et les Mac etc....

Mais là ce n'est plus de la stupidité, c'est de la connerie à l'état pur !

Tu permets que je t'embrasse... ??? mieux encore, juste  te serrer tendrement quelques instants dans mes bras.......

15:41 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : france inter, finkielkraut

08/10/2009

La réponse....

Voici la réponse à la devinette d'hier... Inutile de poser à nouveau la question j'espère..... et j'ai trouvé une solution pour rester polie.

"Tous les trous de balle finissent par en avoir une un jour".... vous imaginez bien que dans le langage parlé il ne s'agit pas de balle mais de cul................ Oh, pardon.... je vous jure que je ne l'ai pas fait volontairement... c'est parti tout seul....

Tant pis, ce qui est dit doit être dit comme le chante Maître Jacques Higelin...

19:59 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : devinette, réponse, rire