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11/10/2009

A mon tour maintenant...

Après Roman, Frédéric... à mon tour d'avouer ce terrible penchant que j'ai eu dans ma jeunesse. J'ai été très proche d'une petite fille, toute petite... un bébé... je ne peux plus garder secret tout ce que j'ai fait avec elle. Je l'ai embrassée partout, partout oui même là où c'est défendu... j'aimais particulièrement ses petites fesses roses et rondes... sa peau douce... je lui parlais avec amour. Je lui disais que je profitais d'elle à 300% parce que je savais qu'un jour elle ne me laisserait plus la peloter sous toutes les coutures... Ce jour est arrivé, elle a grandi et je n'ai plus osé avoir ces gestes que la pudeur interdit, ces gestes que la loi punit sévèrement. Heureusement, elle ne savait pas parler, dont ne pouvait rien raconter.......

Le jour où j'ai du arrêter ces tendres caresses, qui semblaient lui plaire autant qu'à moi... si, si je vous jure... elle aimait particulièrement quand je lui soufflais sur le ventre, elle riait aux éclats... comment résister, comment refuser ces moments uniques...

Alors, quand ce jour est arrivé.... j'ai eu la chance de pouvoir remettre ça avec une autre petite fille, un bébé également... Même topo, mêmes caresses, même amour partagé. Elle ressemblait à l'autre comme deux gouttes d'eau... c'est incroyable. Cette peau douce, comme j'ai aimé la caresser, la frotter contre ma poitrine.... Je l'ai embrassée mille fois ! Chaque séance de caresses et de câlins je les ai gravées en moi, jamais je n'ai connu d'aussi grand moments de joie, de  bonheur... Tant pis si je me répète... Je me souviens quand je lui embrassais son petit derrière doux, qui sentait bon je lui disais :"j'en profite  tant que c'est possible..."

Alors est-ce un crime qui mérite la prison ?  Quand je revis ces moments, je pleure d'amour et de tendresse.

Mes filles ont, et sont, les deux plus grands amours de ma vie. Oui, je les ai embrassées, aimées d'une énorme tendresse charnelle.

Mes enfants, ma chair, mon sang... ma vie ! En les poupoutant ainsi je me disais "cet enfant ne t'appartient pas. Tu n'es pas propriétaire de sa vie. Un jour d'autres mains, d'autres bras l'accueilleront... un jour elles deviendront     femme...                           Tu es l'arbre, elles sont les branches... elles ont besoin de ta sève pour se nourrir, s'ouvrir à la vie, construire leur avenir....

Une branche est tombée... on appelle ça une branche morte....  Non elle n'est pas morte pour moi, elle vit en moi toujours aussi belle, fraîche, tendre...  L'autre est restée sur l'arbre, mais n'a plus besoin de ma sève.... un peu parfois, les jours de tempête !

Plus tard...  nous nous retrouverons toutes les trois, un fil que rien ne peut rompre, un fil précieux, invisibe... est tissé à jamais entre nous. Rien ni personne ne le coupera.... jamais.  L'amour éternel... c'est tout simplement ça.

21:35 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : amour, pédophilie

Commentaires

Devant ces mots là si forts si doux, on peut juste recevoir, et rien exprimer qui ne soit fade ou à côté....

Écrit par : Colette | 12/10/2009

Ces mots... ce sont mes filles qui me les ont dictés.

Écrit par : Françoise | 12/10/2009

ce terrible penchant?! rien n'est plus naturel, plus beau, plus authentique que l'amour entre une mère et ses enfants... l'amour inconditionnel!

Écrit par : corinne | 13/10/2009

Les commentaires sont fermés.