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28/09/2010

une autre "devinette" ?

 

ciel d'orage 2010.jpg

Et cette photo, elle vous suggère quoi ?

Pour moi, dans celle d'hier, les nuages du bas me faisaient penser à un cochon au long nez pointu ! OK je fais une fixation sur ces tendres animaux ! Au dessus de lui, un serpent dragon le survolait paisiblement.

 

30/07/2010

Il y a des jours...

Il y a des jours où l'on voudrait   être magicien... d'un coup de baguette magique tout arranger... réparer, dans sa vie et celle des autres. Mais voilà.... malgré ce que  dit Jodorowsky "la vie un conte"... ce n'est pas tous les jours vrais... ou bien il y a les contes roses et les contes noirs !

La vie est un  parcours dangereux dont on ne nous a pas donné la carte... parce qu'elle  n'existe pas ! Chacun de nous "construit" la sienne au fil du temps, des évènements... ça peut paraître con ce que je dis;  mais voilà ce que je ressens à l'instant où j'écris, alors je partage !

23/03/2009

Pourquoi écrire ?

L'écriture et un curieux besoin. Ecrire était mon métier. "Sur commande" c'est relativement facile. Les objectifs sont fixés à l'avance, il suffit de trouver quelques idées et de les transcrire. Que ce soit pour la pub ou la presse. Le résultat est plus ou moins bon, mais bien souvent ça passe. Et quand c'est très très bon (cela arrive) on se sent bien dans sa peau.
Alors aujourd'hui, plus d'obligation pro, j'écris uniquement j'allais dire, pour le plaisir? Oui, c'est vrai, mais parfois cela me coûte, ce n'est pas facile. Idées et mots se bousculent, s'engueulent, il faut arriver à les mettre d'accord avant de les afficher sur l'écran et vous les offrir en pâture. Je dois vous avouer que lorsque je m'installe devant mon cher Mac, je n'ai aucune idée préconçue.
Je commence par un mot, puis un autre... les autres suivent, l'idée se délie.... et les lignes se succèdent les unes aux autres. Parfois je ne relis même pas, je ne sais pas si le texte est cohérent. Peu importe, j'ai écrit ma note quotidienne. Parce que c'est ce que je m'impose, c'est comme ça, il y a certainement une raison... mais quelle importance ? Je ne la connais même pas, j'obéis à une pulsion, une envie...
et vous me demanderez à quoi cela me mène... une fois encore, quelle importance ?
Echanger, partager, se confier, et même se raconter, je crois que c'est une façon d'exister.
Je n'ai rien de trouvé de mieux pour conclure : ÉCRIRE C'EST VIVRE.

06/03/2009

Ah ces mots !

Etre aveugle, c'est ne pas voir. Et un amour aveugle ? une confiance aveugle.... être aveuglé par une personne ?
Amour aveugle, aimer sans réfléchir, instinctivement ? sans doute refuser de voir "ce qui cloche"...
Confiance aveugle, assez rare de nos jours... pourtant d'aucuns ont fait confiance à un certain Madof, d'autres ne retirent pas leur confiance à leur président... serait ce de l'amour aveugle ?
Je me demande... il me semble.... quelles que soient les personnes, les circonstances, le jour, l'heure... que sais je encore ?
Il n'est pas très sain d'être aveugle ou aveuglé !
Ben voilà, c'est pour ça que je vais me faire opérer de la cataracte un de ces jours !
Pffffffffff.... quelle idiote, cela n'a rien à voir avec l'amour ou la confiance... Mais si, pour confier ses yeux à un/e inconnu/e il faut lui faire une foutue confiance.... Aveugle ?

17:18 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : parler, entendre, écouter

31/01/2009

En passant par là...

Hier, pas trouvé le temps de venir saluer mon blog. Aujourd'hui, ce n'est pas le temps qui manque, mais tout ce dont j'aurais envie de parler ce soir n'a pas grand intérêt pour qui ne me connaît pas. Alors, que faire ? Ecrire pour le plaisir d'écrire... pourquoi pas ?
Le plaisir de vous raconter un souvenir d'enfance ? Mai/Juin 1940, j'étais à Pornichet, belle plage de l'Atlantique... j'ai eu la chance de ne pas connaître l'exode parce que mon père sentant ce qui se préparait a eu la sagesse de ne pas nous faire rentrer à Paris en septembre 39.
Printemps 40 : guerre et bombardements. Mes parents avait un ami que j'adorais... Raymond L. ! coup de bol c'était un soldat anglais en uniforme.... alors, à la moindre alerte, je me précipitais dans ses bras m'y sentant tout à fait à l'abri. Normal son uniforme, pour moi, était un véritable camouflage, il ne pouvait rien m'arriver !
Puis les anglais sont partis... remplacés par un campement de militaires allemands juste à côté de notre maison. Jamais je n'oublierai ce soldat qui nous a pris dans ses bras, mon frère et moi, et nous a dit (ou fait comprendre avec des photos je crois) qu'il avait laissé chez lui deux enfants de notre âge.... je n'ai pas eu peur... mais ne suis jamais allée me réfugier dans ses bras !
C'est tout. Morale de l'histoire... à chacun la sienne !

18:35 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : parler, mots, tout et rien