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19/10/2009

complément à la note précédente !

Partir c'est mourir un peu... je ne sais plus qui à dit ça... J'ai une autre formule... "Dormir, c'est   mourir !"  Calme, silence,  repos (pas forcément éternel) Ne pas penser... ignorer le temps qui passe... être en paix avec soi et les autres...   en prime avoir parfois la chance, la joie, le bonheur de passer un moment avec ceux qu'on   croyait ne plus jamais retrouver sur terre... Les toucher, les entendre vous dire des mots d'amour, ceux de toujours comme si rien d'horrible  n'était arrivé. Il m'est arrivé de sentir ma fille m'embrasser. Oh, une fois seulement, il y a longtemps.... si longtemps que je me demande si je ne l'invente pas pour me faire plaisir ! pour croire qu'un jour... une nuit... tout est, sera possible !

Le sommeil ? le plus beau des refuges !

Et ne venez pas assombrir mes nuits (et mes jours aussi ) en me parlant de cauchemars. Je n'en veux pas, je les rejette en bloc.

18:24 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : dormir, mourir

Commentaires

Dormir ça s’apparente plutôt à un voyage, une mobilité vivace dans des stratosphères inconnues. Un refuge parfois quand le froid de la vie vous mord au cœur, mais aussi un champ clos de tiédeur comme des bras qui vous entourent. Petite, moi je pensais que mon lit était une rivière mais des fois je ne savais pas y flotter. Parfois sur cette onde agitée j’avais quand même de sacrés instants de liberté. Et puis ce sommeil qui apporte ses histoires, ce vent de liberté sauvage où nulle censure ne vient, quelle ivresse !!!! Moi l’hyperactive, je dors peu, de moins en moins, mais parfois je reste juste posée immobile, j’écoute. La nuit parle de cette drôle de voix qui ne me fait pas peur, et je l’écoute sans bouger, c’est beau la nuit même quand on ne dort pas….et parfois les rêves sont des panoramas surréalistes, une toile que j’aimerais peindre de mes doigts…

Écrit par : Colette | 19/10/2009

Depuis que je suis toute petite je crois bien que mon lit a toujours été un refuge, une nid confortable où je pouvais me cacher, fuir le monde, les autres... Si mes oreillers pouvaient parler.......
Merci pour ce beau voyage, Colette.

Écrit par : Françoise | 19/10/2009

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