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26/07/2009

Le président hospitalisé !

Nicolas à l'hôpital ! Ca alors, quelle tuile !

Ici, je n'ai pas caché que je ne ressens i pas un amour délirant pour Nicolas. Mais... il y a toujours un mais... tout d'abord je n'ai jamais et ne souhaiterai jamais la mort de personne.  Ensuite, si je croyais un tant soit peu à la force de ma prière, j'en ferais une pour que ce malaise ne soit pas grave... Pourquoi ?  Simplement parce qu'il n'y a personne en face pour le remplacer... Vous imaginez le merdier ????

ll y en a déjà qui doivent discuter ferme pour "élire"  dans leurs rangs qui sera  le/la meilleur candidat(e)....

à suivre.......................

16:53 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (4)

Commentaires

Mais non, Françoise! la terre continuera de tourner; les cimetières sont plein de gens irremplaçables!!!
Mais je suis comme toi, je ne souhaite du mal à personne même pas à Nicolas, pourtant c'est pas ma tasse de thé
Bonne soirée

Écrit par : Martine | 26/07/2009

Très chère Martine Peut être me suis-je mal exprimée ! Je ne dis pas que Sarko est irremplaçable... je dis que ce sera la foire d'empoigne pour prendre la place laissée vacante !
Bien sûr les affaires ne s'arrêteront pas pour autant... les bonnes... et les autres......
Aujourd'hui tout ceci est dépassé......

Écrit par : Françoise | 27/07/2009

Cela me rappelle un nouvelle de Dino Buzzati intitulée "Le chef"

Il est directeur d’une grande industrie, il a passé la soixantaine, tous les matins il se lève à six heures, été comme hiver ; à sept heures il est déjà à l’usine où il reste jusqu’à huit heures du soir et au-delà. Même le dimanche il va travailler, même si les ateliers et les bureaux sont déserts ; mais une heure plus tard, ce qu’il considère comme un vice. Il est l’homme sérieux par excellence, il sourit rarement, il ne rit jamais. L’été, il se permet, mais pas toujours, une semaine de vacances dans sa villa sur le lac. Il n’a aucune faiblesse, il ne fume pas, ne boit ni café ni alcool, il ne lit pas de romans. Il ne tolère aucune faiblesse chez les autres. Il se croit très important. Il est important. Il est très important. Il dit des choses importantes. Il a des amis importants. Il ne donne que des coups de téléphone importants. Même ses blagues en famille sont très importantes. Il se croit indispensable. Il est indispensable. Les obsèques auront lieu à quatorze heures trente demain, le cortège se réunira au domicile du défunt.

Dino BUZATTI. Les Nuits difficiles. Editions Robert Laffont 1972.

Écrit par : Joël | 28/07/2009

Merci Joël... te souviens tu ? à la mort de Kennedy je ne sais plus quel journaliste avait justement dit "les cimetières sont remplis de gens irremplaçables"...
Je note ce livre sur ma liste ! en espérait de pouvoir encore le trouver !

Écrit par : Françoise | 28/07/2009

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