Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

30/11/2008

Histoire de rire un peu...

Quelques mots d'explication : je participe à un atelier d'écriture (si le coeur vous en dit vous êtes bienvenu(e)s)
L'exercice du jour appelé les "mots incrustés" nous oblige a utiliser quatre mots imposés... mais surtout pas dans leur sens initial.
Il faut les entendre, phonétiquement. Pour les retrouver facilement ils sont en majuscules dans le texte...
Pour celui ci... les mots... non je ne vous les dis pas, trop facile, si vous avez le courage notez les en commentaire.
Rendez vous en décembre !


Merci Pascal !
Ces quatre mots... ces merveilleux mots avec lesquels il va falloir jouer maintenant... merci de les avoir choisis ! J'ai l'impression que vous êtes venu visiter mes rêves la nuit dernière... parce que ces mots vous me les avez soufflés à l'oreille, alors que je faisais un rêve horrible, un cauchemar comme j'en fais rarement. Ecoutez moi plutôt ! Sur ce beau pont parisien qui enjambe la Seine un soldat est là, il veille sur la montée du niveau de la Seine. Sans savoir ni pourquoi ni comment il me dit "Bonjour Françoise, pourquoi tu me regardes fixement ? "Ben... heu... j'ai envie de rester près de toi ?" "Mais non ! Le zouave célèbre que je suis, le seul,l'unique celui de l'ALMA N'A QUE faire d'une compagne...". Ah des compagnes j'en ai eu dans ma vie, la dernière je l'ai zigouillée. Un jour elle, ma douce, ma belle... oui sans que je comprenne pourquoi voila qu'elle m'inCRIMINE. ELLE m'accuse de m'habiller comme un.... zouave ! La colère me prend... sans réfléchir je la TUE ! NERvi... un nervi voilà ce que j'étais devenu ! Tu sais ce que c'est un nervi, un tueur comme moi. J'ai pris son corps et l'ai porté ici même... son corps enFOUI NE REmontera jamais. Pour me punir un sort m'a condamné à rester ici, transformé en zouave de pierre. Et sous mes pieds repose le corps de ma belle..." J'ai vu une larme rouler sur sa joue !"
A ce moment précis j'ai entendu un chant langoureux, comme une plainte venu du fond des eaux... le chant d'une sirène... Ouf, je me suis réveillée en sursaut, le coeur battant la chamade... au pied de mon lit, me fixant de ses yeux jaunes... ma chatte miaulait doucement réclamant ses croquettes du matin....
Je crois que je ne traverserai plus jamais ce foutu pont...
j'aurais trop peur que mon cauchemar devienne... réalité !
mardi 25 novembre 2008

Les commentaires sont fermés.