Le grand déblocage

Alors là, chapeau Monsieur le résident, je relève cette information sur internet :

Sarkozy à Mitterrand: "Un ministre, ça ne se déplace pas en mobylette!"

Vous avez tout à fait raison, polluer, risquer sa vie... non, il ne le faut pas. Comme tout le monde, un ministre doit utiliser les transports en commun, rapides, économiques, confortables, particulièrement aux heures de pointe, celles  où on a la chance de cotoyer  nos congénères... C'est ça la chaleur humaine, la vraie.  Un jour,il me semble vous avoir croisé dans les couloirs de la station "Champs Elysées - Clémenceau"... je vous avoue que je n'avais pas mis les bonnes lunettes... une erreur est donc possible ! Pourtant j'ai cru vous voir me faire un signe... l' avant bras droit  posé dans le pli du coude du bras gauche, celui-ci se levant brusquement, vivement. Il paraît que cela s'appelle un bras d'honneur... Merci Monsieur le Président pour ce geste amical. Si je vous ai bien reconnu, la prochaine fois que vous passerez à la télé, merci de me faire ce petit signe;  vous confirmerez que je ne me suis pas trompée.

Je vous embrasserai bien, mais vigiprate, H1N1, CO2 etc... est-ce bien prudent ? Mieux vaut éviter. OK Nicolas ?

Tout ira mieux après le prochain Copenhague... vous avez été brillant ! encore bravo.

Une dernière question, qu'avez-vous dit au ministre qui avait un bras en écharpe suite à un accident de sky ? Vous avez raison d'aller au Maroc, on ne risque pas d'y glisser sur le verglas... les risques y sont d'une toute autre nature, mais de ce côté là, vous ne craignez rien. Quand on est ami du roi, pas de problème !

Dangereux de rouler en voiture au point mort.
Impossible ? mais non ! parfois dans une descente on se laisse
glisser, vitesse au point mort !
Moteur silencieux.
Imaginez, un bug ! un rien ! et le contact est coupé.
Aïe ! direction et freins bloqués !

Si vous réagissez bien, sans paniquer, vous contrôlez la situation
et vous remettez le contact ! et ça repart comme avant.

Dans le cas contraire que peut il arriver ?
Au mieux, rien du tout, si vous vous retrouvez en terrain plat,
seul sur le route,
vous laissez aller... arrêt en douceur.

Au pire c'est l'accident et là, impossible d'en prévoir les
conséquences.

Jouer avec sa vie ? aucun conducteur sérieux ne le fait.
Je vous rassure, je ne roule jamais au point mort,
sauf si on m'y oblige... mais je ne vois pas comment !