Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

16/09/2008

une info !

Mes chers amis... vous permettez que je vous appelle ainsi bien sûr.

Il y a quelques jours, par le biais d'une note, je me suis adressée à Monsieur Philippe Devedjian.
Vous imaginez bien, puisque vous faites partie de mes amis que, si j'avais reçu la moindre réponse,
ne serait ce qu'un petit coucou, je vous l'aurais aussitôt dit.

Un exemple de lettre que j'aurais pu recevoir :
Bien chère Françoise
Comme je suis heureux que vous ayez eu cette excellente idée d'attirer mon attention sur ce douloureux problème du montant des retraites.
Justement, pas plus tard qu'hier, venant de recevoir de l'insécurité associale le récapitulatif de ma carrière m'ouvrant droit à une retraite (que je n'anticiperai certes pas ) que j'aurais bien méritée, je me rendais compte qu'elle ne me permettrait sans doute pas de déguster du caviar aussi souvent que maintenant, qu'il me faudra rouler dans une voiture petit modèle, voire me contenter d'un âne ou d'un mulet... nous ne savons pas ce que l'avenir nous réserve... tout peut arriver ! Avec ce foutu José...
Nicolas à qui je parlais justement de vous se souvient très bien de votre nom. Lorsqu'il habitait Neuilly il l'a souvent vu inscrit sur une maison de sa pauvre commune. Il m'a promis, et vous savez qu'il tient toujours parole, de s'occuper tout particulièrement de vous. Surveillez bien votre prochain avis d'imposition.
Il n'a pas oublié qu'il fallait indexer le montant de la taxe télé sur l'indice des prix. Vous voyez donc qu'il a tout compris.
Je vous laisse, Carla m'attend dans le petit salon... c'est un secret, mais je vous sais très discrète. Ah ! ne vous méprenez pas... Carla Blondie bien sûr !
A très bientôt chère amie. N'hésitez pas à m'appeler voici mon numéro 00 00 00 00 01.

No more for to day !