Le grand déblocage

Envie de partager ici ce que j'ai lu aujourd'hui... parce que ça me "parle"....

TROUVER SON AUTONOMIE

TA MAISON INTERIEURE, TU HABITERAS

DANS LA VERITE DE TON ÄME, TU VIVRAS

A LA LMIERE DE TA VIE, TU T'ECLAIRERAS

A LA LOI DE TON COEUR, TU OBEIRAS

AU PLUS PROFOND DE TON SILENCE, TU CHANTERAS

ET LIBRE DE TOUTE ENTRAVE, TU DANSERAS

Auteur : Catherine Bensaid, psychanalyste...

extrait de La Musique des Anges

Je suis un peu vide, fatiguée... pour tout dire  du genre grise comme le temps parisien  !

Crachin, brouillard...  je pense à ceux qui n'ont pas de maison, pour qui le mauvais temps est une épreuve vitale ! alors qu moi j'ai le privilège d'avoir un lit douillet.

Je n'ai donc pas le droit de me plaindre...

Il y a des personnes avec lesquelles la communication passe par de curieux chemins.

Un exemple, en ce moment je suis chez ma belle soeur ! Hier je lui demande à quelle heure sa fille, donc ma nièce, ira voir son père à l'hôpital afin que nous n'y allions pas tous en même temps, ce qui le fatigue. Je lui demande également si dimanche prochain nous voir, comme prévu, un spectacle dont nous avions parlé.

Gentiment ma bell's me dit, "mais appelle là, demande lui directement"... ce que je fais ce matin. Puis je dis à ma bell's que je viens de parler avec sa fille... oh, surprise, elle me dit d'un air vexé "mais j'aurais très bien pu le faire et le lui demander moi même"...

"Ben, heu, dis-je, mais c'est toi qui m'a dit hier "etc.......  je n'ose pas dire comment on appelle les personnes qui vous mettent dans ces situations, quel que soit le bout par lequel on les prend... on se salit les mains ! et c'est ainsi tous les jours.... pour tout...  et vous savez quoi... je ne m'énerve pas, je ferme ma gueule, c'est peut être pour ça que je raconte cette connerie ici..... je défoule.

Je laisse la parole au grand Jules Renard..

 Je sais que la littérature ne nourrit pas son homme. Par bonheur, je n'ai pas très faim.

 La morale est dans les faits, pas dans les sentiments. Si je soigne mon père, je peux m'amuser à désirer sa mort.

 Le soleil se lève avant moi, moi je me couche après lui : nous sommes quittes.

Là en haut à gauche vous cliquez sur Errances Narratives et vous devez absolument lire la dernière note de Pierre Blanc Sahnoun "IBUKA, REQUIEM POUR UN MASSACRE"

Vous comprendrez pourquoi je ne peux rien ajouter ou dire ce coir. Je suis bouleversée, comme si j'avais été sur place...