16/11/2010
Quel bonhomme !
Je laisse la parole au grand Jules Renard..
Je sais que la littérature ne nourrit pas son homme. Par bonheur, je n'ai pas très faim.
La morale est dans les faits, pas dans les sentiments. Si je soigne mon père, je peux m'amuser à désirer sa mort.
Le soleil se lève avant moi, moi je me couche après lui : nous sommes quittes.
22:55 Publié dans blog citation | Lien permanent | Commentaires (3)
Commentaires
Pour faire le boulet du jour :) je dirais moi que la littérature nourrit la faim la plus essentielle, celle de l'esprit....oui oui je sors !!!!
Écrit par : Phédrienne | 17/11/2010
Et "vidange" aussi... non?
Écrit par : Eva | 17/11/2010
C'est lui aussi qui disait ; "Tout le monde n'a pas la chance de naitre orphelin"...
Écrit par : heure-bleue | 17/11/2010
Les commentaires sont fermés.