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25/02/2013

Sale journée

J'avais un frère que j'aimais

Aujourd'hui il est parti ailleurs

Cet ailleurs dont personne n'est jamais revenu.

POURQUOI  ?

Peut être qu'on y retrouve ceux qui meurent avant nous...

Je garde en moi un frère que j'aimais

et que j'aimerai jusqu'à la fin de ma vie.

Son corps n'est qu'une enveloppe

Nos souvenirs, son esprit, son amour...

ne s'éteindront jamais.

Au revoir mon beau et grand frère.

 

20:06 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (12)

24/02/2013

Possible ou pas ?

Pour obtenir ce que l'on veut de la vie,

il faut absolument commencer par le commencement :

 savoir ce que l'on veut.

 

Ben Stein


Hélas, parfois on sait...

mais pouvons toujours atteindre

le but ?

L'inaccessible étoile ?

Peut être faut il ne pas vouloir

l'impossible, mais comment

ne pas rêver parfois.... 

Rester dans la "limite du raisonnable"

A chacun ses limites ?

Pas simple tout ça...

 

23/02/2013

Un rêve ????

Si aujourd'hui, ici-bas, une foule d'individus

désirait le bonheur plutôt que le malheur des autres,

il suffirait de quelques années

 pour que la terre soit un paradis.

 
Bertrand Russell

 

22/02/2013

Espérer ou pas ?

 

Le grand obstacle au bonheur, c'est d'attendre un trop grand bonheur.
 
Bernard Fontenelle

 

Peut être...

Je ne sais pas, je suis perplexe

et vous ?

20/02/2013

Une belle aventure...

Envoyé ce matin par mon ami marocain Mourad :

Un algérien raconte  son aventure

 

J’étais en voiture, sur le chemin du retour depuis New York pour Montréal, où j’habite depuis maintenant plus de 20 ans.

 

Au poste frontière, je remettais mon passeport à la préposée à la douane, et lorsqu’elle lut: « Lieu de naissance: ALGERIE », elle me demanda:

 

- Comment va l’Algérie?

 

- Ca peut aller, lui répondis-je. Tout ce que l’on souhaite, c’est que ça continue à aller autant bien que mal…

 

- Depuis combien de temps vivez-vous au Canada?

 

- Je viens de boucler ma 20ème année.

 

- A quand remonte votre dernière visite en Algérie?

 

- C’était il y a deux ans.

 

Elle me fixa en souriant et me dit:

 

- Lequel des deux aimez-vous le plus, l’Algérie ou le Canada?

 

- La différence que je fais entre l’Algérie et le Canada, est exactement celle que je fais entre ma mère et mon épouse. Mon épouse, je l’ai choisie, je suis tombé sous son charme, je l’aime, j’en suis amoureux, mais elle ne peut en aucun cas me faire oublier ma mère.

 

Je n’ai pas choisi ma mère, mais je sais que je lui appartiens. Je ne me sens bien que dans ses bras; je ne pleure que sur son épaule.

 

Elle referma mon passeport, me fixa avec étonnement, puis me dit:

 

- On entend souvent dire que la vie est très difficile en Algérie. Comment pouvez-vous aimer autant ce pays?

 

- Vous voulez dire « ma mère »?

 

Elle sourit et dit: supposons-le.

 

- Ma mère est peut-être pauvre; elle n’a pas de quoi me payer mes soins, encore moins les honoraires du médecin, mais la tendresse de son giron quand elle m’étreint, et la chaleur de son cœur lorsque je suis dans ses bras, suffisent à me guérir.

 

-Décrivez-moi l’Algérie.

 

- Elle n’a pas la beauté blonde, mais la vue de son visage vous apaise. Elle n’a pas les yeux bleus, mais sa vue vous met en sécurité. Ses vêtements sont simples, mais elle porte dans ses plis bonté et miséricorde…

 

Elle ne se pare pas d’or et d’argent, mais elle porte à son cou un collier d’épis de blé, dont elle nourrit tout affamé. Les brigands l’ont spolié, mais elle continue de sourire.

 

Elle me remit mon passeport et dit:

 

- Je connais l’Algérie à travers les écrans de la télé, mais je n’y trouve rien de ce que vous m’avez décrit.

 

- Vous avez vu l’Algérie des cartes géographiques. Quant à moi, je parle de l’Algérie enfouie dans mes entrailles.

 

- Je souhaite que votre fidélité pour le Canada égale celle que vous ressentez pour l’Algérie… Je veux dire votre fidélité à l’épouse autant qu’à la mère.

- Entre le Canada et moi, existe un contrat auquel je dois fidélité, et je ne suis pas de ceux qui ne respectent pas leur contrat.  Et je souhaiterais que vous sachiez que cette fidélité, c’est ma mère qui me l’a enseignée….