Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

14/08/2011

lecture du jour...

Dans quasiment tous les cas, y compris en Europe,

les immigrants n'évincent nullement 

les travailleurs autochtones qui, en général,

répugnent aux métiers bas et sales

qu'acceptent  les arrivants,

et ceux ci contribuent au dynamisme économiques

des pays où ils travaillent, souvent

dans des conditions d'exploitation éhontées

(travail au noir, très bas salaires).

Aujourd'hui , en France,

les sans-papiers sont indispensables

à de nombreuses corporations 

comme la restauration.

EDGAR MORIN

LA VOIE

"Pour l'avenir de l'humanité"

Fayard

page 73

18:13 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (7)

13/08/2011

Parfois vrai...

On n’arrive droit au but que par mille détours.

Jean Cocteau

en empruntant ce qu'on nomme

des chemins détournés ?

15:31 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (3)

les larmes...

Avez vous remarqué que bien des personnes

semblent avoir honte de leurs larmes.

Elle se cachent pour pleurer.

J'en connais une qui ne va pas voir des films 

émouvants ou tristes.

Elle ne veut pas "s'offrir en spectacle".

En revanche qui a peur de rire en public ?

Rire et larmes montrent nos émotions.

Les deux viennent de nos "tripes".

Oui, je sais ce n'est pas très élégant, mais

n'est ce pas là, au creux de l'estomac que

nous ressentons ?

Le coeur est une plus belle image...

On peut aussi rire aux larmes...


12:41 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0)

12/08/2011

Sagesse d'un homme !

La science a fait de nous des dieux

avant de faire de nous des hommes.

Jean Rostand

14:02 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (3)

11/08/2011

Pour une fois....

Une blague que je viens de recevoir...je partage :

 A Londres un banquier de la City, la cinquantaine, sérieux, très élégant, avec un chapeau melon, parapluie et costume trois pièces sombre, se retrouve à l' arrêt du bus en compagnie d'un punk,piercings divers, les cheveux rouges, vert, jaune, bleu et violet.
 
Le gentleman semble regarder le punk d'un air méprisant.

 Le punk offusqué l'apostrophe:
 -  Vous avez un problème? Pas étonnant, en vous voyant, je me doute que vous n'avez jamais rien fait d'excentrique dans votre vie.
 Le banquier le considère un instant :
-' Détrompez-vous jeune homme. Une fois dans ma jeunesse, aux Indes, j'ai enculé un perroquet, je me demandais si par hasard, vous ne seriez pas mon fils
.