brume matinale
17/07/2012
Je l'aime ce village quand il se cache dans les nuages.
Aujourd'hui, sans rime ni raison,
je me sens un peu comme cette
"catalane".
Perdue dans la brume,
échouée sur le sable,
sans grande envie de prendre la mer
de peur que mon coeur chavire !
On ne sait jamais ce que cache le brouillard !
Parfois une bonne surprise...
parfois un précipice...
Mieux vaut être prudent,
attendre que le soleil revienne.
3 commentaires
quelle belle poésie!
c'est le spleen que vous exprimez là et cela me touche
amitiés
Merci Andrée... oui il y a des jours.....
Je vous embrasse.
Oui, attendons...
Les commentaires sont fermés.