Ben là j'ai du mal.
1- je n'ai pas la même force que cette femme.
2- Il y a quelque chose de très ambigu avec la souffrance. Elle légitimise un peu trop souvent à mon goût le droit de faire souffrir l'autre.
Ben là j'ai du mal.
1- je n'ai pas la même force que cette femme.
2- Il y a quelque chose de très ambigu avec la souffrance. Elle légitimise un peu trop souvent à mon goût le droit de faire souffrir l'autre.
J'ai lu chez Murakami (autoportrait de l'auteur en coureur de fonds) : "Pain is inevitable, suffering is an option / La douleur est inévitable, la souffrance est en option".
3 commentaires
Ben là j'ai du mal.
1- je n'ai pas la même force que cette femme.
2- Il y a quelque chose de très ambigu avec la souffrance. Elle légitimise un peu trop souvent à mon goût le droit de faire souffrir l'autre.
Ben là j'ai du mal.
1- je n'ai pas la même force que cette femme.
2- Il y a quelque chose de très ambigu avec la souffrance. Elle légitimise un peu trop souvent à mon goût le droit de faire souffrir l'autre.
J'ai lu chez Murakami (autoportrait de l'auteur en coureur de fonds) : "Pain is inevitable, suffering is an option / La douleur est inévitable, la souffrance est en option".
C'est un peu la même idée que Simone*, pas toujours facile à expliquer à qq qui a une rage de dent.
* http://perinet.blogspirit.com/archive/2006/08/26/sonnet-de-chancay.html
Tiens, je n'ai pas fait de note sur ce Murakami. Un oubli.
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