Que du bonheur !
26/08/2008
Et je n'ai pas écrit un seul petit mot !
Et pourquoi ???
Tout simplement parce que aujourd'hui il fait beaucoup trop beau pour rester plantée devant le Mac (pardon mon chéri) ! Une envie irrésistible de plonger dans la grande bleue, de lézarder au soleil bercée par la musique de la mer ! Je vous jure, et vous pouvez me croire, je ne mens jamais (ou si rarement !) ce matin la mer avait composé une symphonie, spécialement pour moi.
Rien à voir avec la Mer de Debussy (que j'adore) ! C'était beaucoup plus doux, pas de tempête !
Et le soleil ? mais évidemment il était de la partie !
Nous avons passé un moment si bon... que ce serait trop stupide de ne pas récidiver cet après midi !
Une petite sieste, lecture de Dolce Agonia de Nancy Huston... un vrai régal dès les premières pages !
Essayez, vous verrez que là, je ne mens pas du tout !
Ah ! encore un petit mot pour ceux qui rament enfermés dans des petites cages appelées bureaux... une pensée pour tous les autres qui bossent... ces petits moments de bonheur je crois que je les ai bien mérités.
A quoi servirait la retraite si on n'en profitait pas ? en Espagnol cela se dit "Jubilacion" ! pas besoin de traduire tout le monde comprend !
Alors, je jubile !
4 commentaires
ahhhhhhhhhh parce que tu es au bord de la mer ?
Chanceuse :)
Ben toi tu as la montagne ??? remarque moi aussi. Je suis tout à côté de Perpignan. De mon balcon je pourrais voir le Canigou s'il n'y avait pas de grands arbres qui me bouchent la vue. La mer est à une dizaine de kilomètres... et voilà !
J'ai bien eu raison de quitter Paris.
Comme disait Allais on devrait construire les villes à la campagne l'air y est plus pur !
Entre la mer et la montagne je n'hésiterais pas longtemps :) mais j'irais plutôt vers l'Atlantique. Bon la montagne c'est pas non plus le bagne !
L'Atlantique, les marées... cela a aussi son charme ! Imagine toi que j'ai connu la Manche et ses plages de galets alors là non, plus jamais ! Pourtant ma seconde fille était née là bas. De la fenêtre de ma chambre je voyais la mer, passant du gris au vert, son mouvement perpétuel ! En vérité ce sont les galets que je n'aimais pas... mais pas la mer toujours belle, mystérieuse, charmeuse, envoûtante.
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