Paris, tu m'as vu naître. De l'enfance à la retraite je te suis restée fidèle. Et voilà qu'un beau jour d' août je suis partie vivre à 700 km de toi. Ce jour là ni toi ni moi n'avons pleuré. Et maintenant me voici "touriste". Me reconnais tu ? Toi tu n'as pas trop changé. Je "profite" de toi comme je ne l'avais jamais auparavant. Dans le temps je remettais toujours au lendemain la visite de telle ou telle exposition, la balade dans un jardin à l'autome... maintenant je ne trouve même pas le temps de tout faire. Mais Paris, pardonne moi, tu ne me manques pas. Ce matin j'ai un rendez...

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